GPT-3, LaMDA, Wu Dao… L’éclosion des IA « monstres »
Les IA neuromimétiques peuvent désormais écrire, dessiner, composer de la musique… Loin d’être « conscientes » que disent-elles de l’humain ?
Philosophie
Les IA neuromimétiques peuvent désormais écrire, dessiner, composer de la musique… Loin d’être « conscientes » que disent-elles de l’humain ?
Hubert L. Dreyfus fut le premier à critiquer l’IA cognitiviste et computationnaliste en convoquant la phénoménologie, de Husserl à Heidegger.
Voici donc venir le « Métavers », l’occasion ici d’un contact intellectuel posthume avec le philosophe Bernard Stiegler.
Avec le mathématicien-philosophe René Thom, nous partons à la rencontre de ces « singularités » qui semblent échapper à l’emprise numérique.
Les chercheurs en sciences de l’information cherchent à s’emparer du concept d’ « individu ». Décryptage de leurs méthodes ordinaires…
Le régime technique produit cette doxa « computationnaliste » qui considère le cerveau comme un centre de traitement de l’information. Est-elle sur le point de céder ?
Dans l’effervescence d’après-guerre, de jeunes cybernéticiens anglais ont brillé par leur talent et leur créativité. Un temps oublié, leur « Ratio Club » éclaire les origines de l’IA.
Gilbert Simondon, relu 40 ans plus tard par les penseurs du digital, est loué en tant que « premier philosophe de l’information ». Que penser de ce sacrement ?
L’activité mathématique illustre à merveille le couplage du corps et des jeux de langage, c’est-à-dire leurs modifications réciproques lorsqu’ils « dialoguent ».
Les termes « données », « traces numériques », etc. se sont glissés comme des œuvres de faussaires dans la novlangue philosophico-numérique. Analysons et démasquons !