« Fracture numérique » : esquisse d’un concept
Une « fracture numérique » accompagne l’essor du numérique depuis les années 1990. Esquisse d’un concept problématique.
Une « fracture numérique » accompagne l’essor du numérique depuis les années 1990. Esquisse d’un concept problématique.
Hubert L. Dreyfus fut le premier à critiquer l’IA cognitiviste et computationnaliste en convoquant la phénoménologie, de Husserl à Heidegger.
L’image révélée au monde en 2019 valide une fois de plus la théorie d’Einstein et illustre à merveille le fabuleux pouvoir des mathématiques.
Comment l’œuvre de l’anthropologue Philippe Descola, « Par-delà nature et culture », peut-elle s’appliquer à notre monde numérique ?
Voici donc venir le « Métavers », l’occasion ici d’un contact intellectuel posthume avec le philosophe Bernard Stiegler.
La Photographie, système d’essence technologique, révèle par analogie tout le « progrès » technique (inspiré du philosophe Henri Van Lier).
La technologie « blockchain » promet la disparition des encombrants tiers de confiance. Mais on ne les évacue pas à moindres frais politiques.
L’artefact « intelligent » autonome doit-il être considéré comme responsable de ses décisions ? Faut-il créer un nouveau sujet de droit ?
Avec le mathématicien-philosophe René Thom, nous partons à la rencontre de ces « singularités » qui semblent échapper à l’emprise numérique.
Addictions, fake news, atteintes à la vie privée… L’offre d’ « éthique » des professionnels du numérique peut-elle remédier à ces dérives ?